Née en 1966 avec une fente labiale assorti de division palatine et d'un affaissement de la paroi nasale, je vous livre mes interrogations :
- Comment annihiler l'usage du vocable vulgarisant de "bec de lievre" au profit du terme suffisamment éloquent de "fente labiale" ?
Au vu de ma propre expérience, les impacts psychologiques liés à ces déformations ont été sousestimés, soit par le corps médical, soit par la famille.
- La prise en charge psychologique liée à la FLMP a-t-elle évolué depuis ?
- Si tel n'est pas le cas, pourquoi ?
J'imagine que si je ne m'en suis pas sortie "indemne", d'autres non plus.
Merci pour votre éclairage et bonne journée ![/list][/code]